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Francis Demange Quartet "Living Standards" |
diffusions radio connues :
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au Québec, sur Radio Ville Marie, le 26 janvier 2010, émission Le coeur de l'être avec Marilou Brousseau,
et le 23 janvier 2010
l'Heure Bleue de François Roberge "Francis Demange est un excellent musicien de jazz (...) l'ensemble, est moderne, intéressant, de belles versions des standards "
- en France, sur France Musiques, émission le bleu, la nuit, de Xavier Prévost, le 23 janvier 2010.
- sur FIP le 6 janvier 2011 dans l'émission Jazz à FIP, vers 19h20 :
"...un pianiste français qui porte haut les couleurs du jazz hexagonal, à la différence de certains esthètes figés dans leurs compos. Francis Demange n'hésite pas à revisiter certains classiques de l'histoire du Jazz sur son album Living Standards...ils s'attaque avec brio à ce Take Five de Paul Desmond mille fois repris, auquel il sait donner une nouvelle lecture... "
- Radio Aligre (Paris), émission JazzBox, a consacré le 8 janvier 2011 une heure d'émission au disque Living Standards, ainsi qu'à Claudia Pereira. Francis Demange et Claudia Pereira étaient en direct au studio de la radio, avec l'animateur Franck Thévenet. Plusieurs plages du cd ont été diffusées.
La même émission jazzbox a été consacrée ce 25 juin 2011 au duo Francis Demange/Claudia Pereira. Ils ont joué en live à la radio : on peut réécouter cette émission ici.
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ARTICLES DE PRESSE
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Eric DELHAYE / MIDI LIBRE 30 août 2010
Soulignons enfin, en retard, la sortie de l’excellent Living Standards (Jim A. musiques), du Francis Demange Quartet, qui visite avec enthousiasme un répertoire de standards. Bertrand Auger, Marc-Michel Le Bévillon et Jean-Claude Jouy entourent le pianiste dans ses relectures osées.
Eric DELHAYE
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LES ALLUMES DU JAZZ - 2e trimestre 2010 p21
Le pianiste Francis Demange lui aussi dédie un disque au patrimoine jazzistique des standards, pas forcément pour les célébrer mais plutôt pour tenter d'en tirer tout ce qu'ils ont à offrir, en extraire toute la sève, pour finalement montrer, et nous convaincre, qu'il y aura toujours quelque chose à en dire pour peu que l'on ait des idées et une maîtrise du sujet. C'est ici le cas.
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Wilbert Sostre / JAZZTIMES - 12/3/2010 - voici enfin une vraie chronique de disque de qualité !
traduction en Français : Les Européens ont toujours aimé et soutenu le Jazz depuis ses débuts, lorsqu’ils ont d’abord entendu l’Europe HellFighters de James Reese. Au début du XXèmesiècle, quand le jazz était considéré comme musique noire « inférieure », quelques compositeurs de musique classique européens ont été parmi les premiers à reconnaître la richesse et la qualité de cette nouvelle musique. Et, quand des légendes du Jazz comme Miles, Duke et Dizzy sont allés en Europe, particulièrement en France, ils ont été traités comme des rois à une époque où, quand ils revenaient aux U.S.A, ils n’étaient pas autorisés à séjourner dans les mêmes hôtels que les musiciens de Jazz blancs. Aussi, il n’est pas étonnant que d’excellentes musiques et de grands musiciens de Jazz viennent d’Europe, comme ces remarquables musiciens du quartet de Francis Demange. C’est précisément le cas de leur CD Living Standards, un recueil d’arrangements unique et intéressant de standards du Jazz.
Living Standards commence avec les mélodies de On Green Dolphin Street jouées sur un motif répétitif au piano, qui se transforme en une harmonisation pour des improvisations au piano. Le tempo s’accélère, dans un morceau que je n’avais plus entendu depuis un certain temps : The Continental de Con Conrad, admirable solo de piano, par Francis Demange. On peut pleinement apprécier la tonalité chaleureuse et le fabuleux sens du rythme de Bertrand dans la version jazz de The Girl from Impamena de Tom Jobim, et sur All the things you are, un morceau qui commence par une introduction syncopée, puis alterne entre tempo lent et plus rapide.
Un arrangement plus lent de Giant Steps montre que cette composition de Coltrane n’est pas seulement un exercice pyrotechnique mais un thème mélodieux et harmonieux.
Dans Take Five, de Paul Desmond, les mélodies sont jouées en duo par le sax et la trompette de Sylvain Gontard (invité). Dans ces improvisations, la basse et le piano empruntent à un autre classique du Jazz, So What de Miles Davis. Le quartet fait une forme d’arrangement différente mais également intéressante de Blusette de Toots Thielemans, qui s’amorce par un tempo rapide, puis ralentit progressivement.
texte original en Anglais : Europeans always liked and supported jazz since the beginning. When they first heard James Reese Europe HellFigthers. At the beginning of the 20th century when jazz was regarded as inferior black music, some european classical composers were among the first to recognize the richness and the quality of this new music. And when jazz legends like Miles, Duke and Dizzy went to Europe, especially France, they were treated as royalty in a time when back in the US they were not allowed to stay in the same hotels with jazz white musicians.
So it is no wonder a lot of great jazz music and musicians comes from Europe, like these amazing musicians from France the Francis Demange Quartet. Their CD Living Standards is precisely that, a collection of interesting and unique arrangements of Jazz standards. Living Standards starts with the melodies of On green dolphin street played over a repetitive piano motif changing into chords harmonization for the piano improvisations.
The tempo speed up on a piece I have not heard in a while, Con Conrad The Continental, with another great piano solo by Francis Demange. Bertrand warmth tone and fabulous sense of time can be fully appreciated on the jazzy version of Tom Jobim The Girl from Ipanema and All the things you are, a piece that starts with a syncopated intro and then changes back and forth between a faster and slower tempo.
A slower arrangement of Giant Steps shows this Coltrane composition is not just a pyrotechnics exercise but a quality melodic and harmonic piece. On Paul Desmond Take Five the melodies are played as a duo of sax and special guest Sylvain Gontard on trumpet. In the improvisations, bass and piano quotes another classic, Miles davis So What. The quartet does a different but equally interesting kind of arrangement on Toots Thielemans Bluesette, starting fast and gradually slowin the tempo.
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JAZZ HOT- 31 janvier 2011 - chronique de SERGE BAUDOT
Francis Demange a commencé par le piano classique, puis il est venu au jazz. Pour son disque en quartette il a choisi de jouer quelques-uns des standards les plus connus, arguant du fait incontestable que les standards représentent le patrimoine du jazz. Ces musiciens pratiquent donc ce qu’on pourrait un jazz classique, ou un jazz de répertoire qui s’arrête au bebop. S’ils n’inventent rien, et on ne peut pas tout le temps inventer bien sûr, ils jouent à la perfection. Pas d’effets gratuits, pas de rodomontades, on colle au thème, mais on le revisite, on le ré-harmonise, on s’envole sur des variations fortes, on le prend sur un tempo ou un rythme inhabituel. Comme par exemple la jolie « Bluesette » de Toots Thielemans qui démarre par une intro du batteur, puis est jouée sur un tempo très rapide, ou « In A Sentimental Mood » du Duke pris en 5/4 me semble-t-il, avec un bel échange piano-soprano, et ça chauffe.
Du bon jazz, du solide, et du plaisir à entendre ces standards revisités.
JAZZ MAGAZINE JAZZMAN 2010 Franck Bergerot
"...un répertoire de standards habilement rhabillés d'harmonies et de métriques originales. Il en ressort des formules bien trouvées..."
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Bertrand
Auger quintet "metamorphosis"
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Le disque METAMORPHOSIS du Bertrand Auger Quintet a
été mis à l'honneur comme disque
du jour sur la radio TSF (89.9) le samedi 4 janvier 2003. Depuis
cette date TSF l'a diffusé chaque jour en janvier, février
et mars 2003. Il fut à nouveau à l'honneur le vendredi
7 février 2003 à 21 h pour l'émission "jazzlive".
Merci à TSF pour son soutien.
Il est aussi largement diffusé par les radios
suivantes : TSF98 à Caen, Fréquence Jazz à Lyon,
RCV99 FM à Lille,etc.
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ARTICLES DE PRESSE
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LA
MONTAGNE 29 août 2003, chronique du concert
du 23 août à La Bourboule
Tenue décontractée pour le quintet de Bertrand Auger
qui, dans le cadre du festival d'été en Sancy, offrait
pour la première fois un concert de musique autre que du classique.
En fin de première partie, le public connaisseur restait très
attentif et les musiciens qui jouent ensemble depuis plus de dix ans
en profitaient pour exprimer toute leur sensibilité.(...) tous
issus d'une formation de base classique, interprétaient les morceaux
de leur dernier cd, "Metamorphosis", sans négliger
quelques standards. Ce quintet ancre son langage dans l'héritage
de la tradition du jazz. L'écoute mutuelle est au coeur des préoccupations
des musiciens qui partagent un goût commun pour des esthétiques
du jazz contemporain. A écouter sans ménagement...
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Jean-Pierre JACKSON /
REPERTOIRE avril 2003,
n°167 page 106
Un son d'ensemble original, des compositions qui ne le sont pas moins
(Bela Bali, Le jeu des sept erreurs), chacun de ses membres étant
par ailleurs maître de son instrument : voici une formation dont
on peut saluer avec reconnaissance l'apparition bienvenue sur la scène
musicale. Enregistré en direct lors d'une prestation sur la péniche
Metamorphosis à Paris, cette musique acérée, souvent
brillante, lyrique (le toit du ciel) ou efficacement démonstrative
ne devrait pas laisser indifférent.
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Eric DELHAYE /
MIDI LIBRE 3 avril 2003,
page 32
Bertrand Auger enfin distribué
en quintet : En 1994, réunis depuis deux ans autour de son leader
aux saxophones ténor et soprano, le Bertrand Auger quintet embarque
pour quatre soirs sur la péniche Metamorphosis à Paris,
pour un livre baptisé de son nom : Metamorphosis (Jim A. musiques),
enfin distribué, concrétise le projet initial. On y entend
déjà la contrebasse de Marc-Michel Le Bévillon,
qui fait merveille aujourd'hui au sein du Romane Trio. Mais aussi Guy
Figlionlos (trombone), Francis Demange (piano) et Jean-Michel Davis
(batterie), autour de Bertrand Auger et de son jeu lyrique.
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Christine MABIRE /
LE COURRIER PICARD du 17
mai 2003 page 58
Bertrand Auger quintet : de somptueux
mélanges - Le disque Metamorphosis marie avec bonheur jazz
traditionnel et contemporain dans des compositions ou reprises énergiques
et colorées, parfois mélancoliques ("Pascal"),
bien servies par de très talentueux musiciens français
(...) ça démarre fort avec un surprenant et plaisant "Penta's
tic" où le mariage saxo-trombone sur un rythme de boléro
est aussi rare qu'excellent ! Puis, comme un bon vin, "Latour 84"
- superbe thème revisité trois fois - se déguste
avec gourmandise : c'est beau, élégant, enlevé
et inventif...un vrai régal. Régal qui se prolonge avec
"Le toit du ciel". Cette remarquable composition de Marc-Michel
Le Bévillon va crescendo, amalgamant progressivement les performances
de chacun des musiciens qui montrent là tout leur talent et leur
sensibilité.
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Michel Bedin /
JAZZ HOT "supplément internet "au n°599
- avril 2003 page 5
Il a fallu du temps à ce cd pour
être produit, puisque l'enregistrement live originel date de 1994,
mais enfin, le voilà. Et c'est une belle découverte pour
nous. Avec neuf titres, dont six compositions de lui-même et une
de son bassiste, plus deux standards, Bertrand Auger nous offre un jazz
personnel, avec de fortes racines entre bebop et cool jazz, même
si l'influence de Bela Bartok n'est pas absente ("Bela Bali").
Cela donne à chacun des musiciens (l'occasion) de s'exprimer
dans des chorus fort bien amenés, comme dans "Penta's Tic"
(Marc-Michel Le Bévillon à la basse, puis l'excellent
Guy Figlionlos au trombone, et enfin le pianiste Francis Demange). Sans
pathos, ils savent faire passer l'émotion (superbe chorus de
Guy Figlionlos et de Bertrand Auger sur "Pascal") et bâtissent
un climat attachant et fort agréable pour le public. Ce genre
de jazz est malheureusement oublié en général par
les programmateurs, qui lui préfèrent la nouveauté
à tout prix, fût-elle laide ou futile. Une équipe
à suivre en tout cas.
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Patrick
Beaumont / LA
GAZETTE NORD-PAS de CALAIS, n° du 29 mars
2003 - 4è de couv.
Enregistré lors de concerts parisiens
en juin 1994, cet album live du quintet de Bertrand Auger secrète
de belles atmosphères contrastées. Entouré d'excellents
musiciens entendus chez Didier Lockwood ou avec les joyeux drilles Au
bonheur des dames, le saxophoniste français joue sur des tonalités
hétéroclites : du rythme boléro de "Penta's
Tic" aux accents bossa nova de Onzolyd en passant par "Bela
Bali", hommage conjugué au compositeur Bela Bartok et à
la petite île indonésienne. Seule reprise : le standard
de Jerome Kern, "All the things you are" immortalisé
par Dizzy Gillespie et Charlie Parker voici déjà cinquante
ans.
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magazine Jazz
notes, n° de mars 2003
C'est en juin 1994 que Bertrand Auger
(tss) enregistre à Paris sur la péniche Metamorphosis
avec son quintet comprenant: Guy Figlionlos (tb), Francis Demange (p),
Marc-Michel Bévillon (cb), lean-Michel Davis (dr). Ils interprètent
sept compositions et deux standards revus et corrigés, dans un
style plus ou moins contemporain, sans oublier l'héritage de
la tradition jazz. Des garçons qui connaissent le métier
avec le souci d'être en accord complet. Ils s'expriment chacun
à leur tour d'une façon volontaire, tout en appréciant
la cohésion quand il le faut. On sent chez Auger une volonté
énergique de stimuler son ensemble, qui d'ailleurs ne rechigne
pas à la tâche. Il tient à donner à ses interprétations
une belle couleur musicale appréciable et très cohérente.
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Franck Duboc / Liberté
Dimanche, Liberté Le Havre Dimanche, Paris Normandie Dimanche,
février 2003
Cinq musiciens français bourrés de talent
qui, semble-t-il, ont enregistré voilà quelques années
un concert sur la péniche Métamorphosis à Paris.
Un enregistrement jusque-là resté dans les tiroirs et
placé sur cd par Jim Assan pour sortir finalement en cette année
2003.Les compositions de Bertrand Auger (saxophones) sont fantastiques
et servies par lui-même, le trombone Guy Figlionlos, le pianiste
Francis Demange, Le bassiste Marc-Michel Le Bévillon, et le batteur
Jean-Michel Davis. On trouve parmi ces garçons des compagons
de route de Dominique Cravic et des Primitifs du Futur, chers à
Daniel Hucq, mais également des défunts Au Bonheur des
Dames et de Ramon Pipin, ou encore de l'ami Stan Laferrière,
mais encore de l'équipe Didier Lockwood. A noter que ce concert
a été enregistré en public et l'on ne peut que
rester admiratif devant le résultat. (...) A noter une fabuleuse
reprise de All the things you are de Jerome Kern, l'une des seules reprises
de cet album concert.
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François Postif /
La Marseillaise du 26 janvier 2003
- chronique du disque METAMORPHOSIS
Lorsque ce disque a été enregistré
(en juin 1994, sur une péniche des quais de Seine qui lui a donné
son nom, et en public), le saxophoniste Bertrand Auger avait déjà,
à ses côtés, le brillant pianiste Francis Demange
et le batteur Jean-Michel Davis. Il s'adjoint alors le trombone Guy
Figlionlos et le contrebassiste Marc-Michel Le Bévillon - et
tout ça, ça fait un excellent petit quintette qui joue
avec passion le long du fleuve tranquille, émaillé de
splendides solos flottant sur les écumes de légers clapottis
rythmiques. Les solos se suivent agréablement, sans problème,
mais l'originalité de ce quintette réside surtout dans
les mélanges saxophone-trombone très réussis.
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L
ECHO
Le Bertrand AUGER Quintet à Lucé.
Un jazz de derrière les fagots.
Aux saxos, Bertrand AUGER . Au trombone, Guy Figlionlos. Au piano, Francis
Demange. Marc-Michel Le Bévillon était à la contrebasse,
Jean-Michel Davis à la batterie.
Ces complices de
longue date prennent leur pied en jouant un excellent jazz. Les connaisseurs
ne sy sont pas trompés samedi soir. Dans la salle Bach
de lécole de musique, à lexcellente acoustique,
pas une chaise de libre pour écouter la formation. Les rendez-vous
du jazz, donnés dans cette salle lucéenne grâce
à Autrica, ont déjà prouvé depuis plus de
deux ans quils savaient trouver leur public.AUGER, lun des
saxos du big band de Jean-Jacques Ruhlmann, dirige son quintet avec
humour et décontraction. Au même moment, le big band qui
accueille aussi Marc Michel qui jouait à lautre bout du
département. On ne peut pas être partout. Les cinq musiciens,
qui ont signé chacun leur morceau, sont aussi à laise
dans les standards (All the things you are, Invitation, Solar) que dans
des thèmes aux trois arômes (Latour 1984), mélodiques
(Mickaels) ou obsessionnels (Le jeu des sept erreurs). AUGER et ses
potes se révèlent dans quelques mémorables solos.
Avec " Le toit du ciel ", la musique éclate comme une
fête brésilienne. Bartok et Bali inspirent au voyage dans
Bela Bali. Le répertoire de lensemble est intimiste, original.Il
puise ses racines dans le jazz traditionnel et les rythmes latins. Le
mélange subtil, enlevé, devient un véritable régal.
On se réjouit à lidée dentendre bientôt
le premier C.D. du quintet, enregistré dans un club parisien.
Les amateurs apprécieront.
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Christel
Assan quintet "nature boy" |
Paru en juin 2003, l'album "nature boy" est diffusé
par les radios Fréquence Jazz à Lyon 97.3, TSF98 à
Caen, RCV à Lille, Jazz Toxique à Roubaix, etc.
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ARTICLES DE PRESSE
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Christine MABIRE /
LE COURRIER PICARD du 12 septembre
2003
Un swing rafraîchissant
- La voix bien posée, claire, mutine, Christel Assan sert avec
le même bonheur quelques classiques du jazz et des compositions
inédites dans un très joli cd sorti dernièrement.
Accompagnée par de solides et talentueux musiciens (...) elle
apporte une note rafraîchissante à la chanson de jazz,
tout en lui préservant son côté sensuel indispensable.
Une découverte que ne doivent pas rater ceux qui aiment entendre
le jazz chanté.Du jazz à savourer.
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Franck DUBOC / Liberté
Dimanche, Le Havre libre, Le Havre presse, 13 juillet 2003 -
25000 ex.
"Le choix de la quinzaine (...) Petit coup de coeur
pour un label indépendant qui sort son troisième album
(...) Christel Assan chante avec sa ferveur intime et la fraîcheur
d'une passionnée. (...) C'est avant tout la fraîcheur sincère
et lyrique de Christel Assan qui frappe dans cet opus simple, sans aucune
prétention. La voix est authentique, presque fragile, l'accompagnement
des musiciens est dénué de fioritures inutiles pour aller
à l'essentiel : servir de grandes mélodies universelles.
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Eric DELHAYE /
MIDI LIBRE 3 juillet 2003
(...) C'est un disque d'autant plus estimable que Christel
Assan y est entourée de proches talentueux, dont le toujours
inspiré Marc-Michel Le Bévillon à la contrebasse
ou Bertrand Auger, saxophoniste au beau jeu lyrique. Composé
essentillement de standards (Gershwin, Cole Porter, etc.) l'ensemble
tient la route et se révèle, finalement, attachant.
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Thomas MARCUOLA /
JAZZ HOT septembre 2003 - supplément
(...) d'autant que le cv des musiciens
impose le respect : Marc-Michel Le Bévillon et François
Laizeau notamment, ont respectivement tenu la basse aux côtés
de Michel Legrand et les baguettes au sein de Magma. Tout ce beau monde
s'est avant tout fait plaisir en mettant en boite les standards qu'il
interprète dans les clubs. Ainsi, les couplets introductifs d'origine
de "What is this thing called love ?" et de "Night and
day", passés aux oubliettes depuis Cole Porter, témoignent
d'une connaissance du jazz relativement étendue.(...) Que les
détracteurs d'Astrud Gilberto ou des chanteuses "à
filet de voix" écoutent ce "How insensitive" -
où le saxophoniste Bertrand Auger part sur les traces de Getz
- et ils réviseront leur jugement. (...) Du jazz d'amateur au
sens noble et donc sans prétention.
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Jim
Assan (Jim A.) "comme un enfant"
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France Culture / Pierre Assouline : "nous avons beaucoup aimé
votre disque"
Fréquence Jazz (Lyon 97.3) : "votre premiere production
ma foi super sympathique...je joue régulierement le titre "comme
un enfant "
Radio Framboise (Suisse) : "absolument superbe"
La critique de
peoplesound
"A la tête dun quintet on ne peut plus efficace, le
pianiste Jim A nous offre une composition lumineuse, gorgée dun
jazz audacieux et généreux . Rien que du bonheur"
Le cd "comme un enfant"
a été diffusé par RFI, France Culture, Radio Framboise,
Fréquence Jazz, et d'autres...
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ARTICLES DE PRESSE
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François Postif / La
Marseillaise , juillet 2003 - 150 000 ex.
J'ai déjà écrit tout le bien que je pensais de
cette petite formation rigoriste où chaque musicien se case dans
une place bien définie et n'en bouge surtout plus, ce n'est pas
du jazz d'une écriture échevelée, souvent désordre
et inécoutable, mais c'est du bon jazz, sobre et de bon aloi.
Les musiciens : Philippe Slominski à la trompette, Bertrand Auger
au saxophone, Jim Assan, producteur de la marque et très intéressant
au piano, Marc-Michel Le Bévillon à la contrebasse et
François Laizeau à la batterie
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Claudia Pereira & Francis Demange : album Natural |
diffusions radio connues :
- le 25-6-2011 sur la radio Aligre FM, émission Jazzbox de Jacques Thévenet, Claudia et Francis ont joué en direct. Ils ont aussi été présentés sur cette antenne le 8-1-2011.
- en France, sur France Musiques, le 2 septembre dans "Jazz été, dimanche" émission de Xavier Prévost :
http://sites.radiofrance.fr/francemusique/em/jazzete-dimanche/emission.php?e_id=25000016
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ARTICLES DE PRESSE |
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